Les mâts du Pourquoi Pas ? Je pense que tout cela vous l’auriez deviné !Un point important est l’anticipation de la profondeur des encoches dans la quille.

Actualité Classé sous : Terre, station électrique, navire. Et bien je dirais à tout simplement que les aventures vécues par ce bateau et son commandant Jean-Baptiste Charcot sont de celles qui me font rêver. Mais… suspens !Afin d’évaluer les quantités de baguettes à commander pour la réalisation de la coque, j’ai utilisé la méthode suivante qui permet d’avoir une marge suffisante.Pour calculer le nombre de virures, j’ai mesuré la longueur développée du couple C5 qui est le plus grand.

Les mâts du Pourquoi Pas ?

Attention, c’est un exercice que je n’ai jamais fait auparavant, je n’ai donc aucune certitude que mes estimations seront bonnes. sont perpendiculaires à la ligne inférieure de la quille (qui est parallèle à la LF). Comme je l’ai indiqué dans un post précédent, ce modèle sera réalisé en coque sur membrure à double bordé.La première étape que je me donne est de créer un gabarit pour tracer la quille sur le CP destiné à être découpé. • Le célèbre navire de recherche scientifique du Commandant CHARCOT (1907/1936) fut mis en chantier à St Malo en Septembre 1907, lancé en Mai 1908. Noter que les structures intérieures sont également renforcées pour la même raison, mais cela ne concerne pas cette réalisation qui ne représente pas l’intérieur du navire. IFREMER. Une étape importante dans la construction du "Pourquoi pas ?" En 1907, Jean-Baptiste Charcot lance une nouvelle expédition antarctique et commence la construction d'un nouveau Pourquoi Pas ?, le quatrième du nom, bateau d'exploration polaire de 57 m hors-tout gréé en trois-mâts barque, équipé d'un moteur et comportant trois laboratoires et une bibliothèque.

Cela augmente la résistance de la coque aux contraintes subies par les glaces. J’ai également indiqué et leur diamètre à leur traversée du pont :On peut distinguer tout cela sur les tracés en vert sur la photo précédente.Pour les couples, tracer à l’épaisseur du CTP dans lequel on va découper les couples, pour les mâts, tracer au diamètre des mâts.

).On peut voir sur la photo ci-dessous que j’ai reporté sur le calque sur lequel je trace la quille la ligne de flottaison, les couples, les axes des mâts et hachuré en jaune la surface de ce qui va constituer la quille découpée dans le CP.Ensuite, découpe du gabarit en s’assurant que les feuilles les constituants sont bien scotchées ou collées entre elles afin qu’elles restent bien solidaires.Et maintenant la découpe à la scie à chantourner et le ponçage.N’hésitez pas à m’indiquer si la qualité des photographies est satisfaisante car dans un soucis de taille allouée pour le blog, j’en ai réduit la taille.Aujourd’hui, je vais vous présenter les plans fournis avec la monographie de l’AAMM (Association des Amis du Musée de la Marine.Cette monographie fournit des plans, un résumé de l’histoire du Pourquoi Pas ?, une nomenclature et 2 photographies.Je regrette que les plans de cette monographie, pourtant basée sur les plans de Gautier, ne représentent pas l’intérieur du navire.

Retrouvez toutes les informations sur la maquette en bois du bateau de recherche scientifique "Le Pourquoi Pas" ainsi que de nombreuses astuces pour le construire. Depuis, j’ai continué à me documenter et démarré la fabrication de la quille. ». Pour obtenir un tracé régulier, j’utilise un pistolet (que j’ai depuis env 1982/1983, lorsque je faisais du dessin industriel en 2nde technique !). Cela augmente la résistance de la coque aux contraintes subies par les glaces. On peut en avoir un aperçu sur la monographie présentée sur le site d’Alain-Marie Gautier, dont voici un aperçu sur l’illustration ci-aprèsSi par hasard un lecteur sait comment se procurer cette monographie, qu’il n’hésites pas à me le faire savoir.Pour en revenir à la monographie, le set documentaire fourni contient 2 plans.