Agacement et incompréhension à Abidjan. Alors que la lutte contre le terrorisme nécessite en grande partie la coordination entre les différentes armées du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest, cette opération unilatérale menée par l'état major burkinabé révèle au grand jour le manque de communication assez conséquente entre les États concernés.
Il avait fait 19 morts et 33 blessés. Dans un passé encore récent, ce manque de coordination avait occasionné 465 attaques jihadistes menées en 2018. Au petit matin de ce Samedi 4 Janvier, l'armée burkinabé à pilonné des positions jihadistes à la frontière ivoiro-burkinabé, précisément à L'opération antiterroriste aérienne et terrestre lancée ce samedi de 5h du matin à 12h par l'armée burkinabé n'était pas du goût de l'état major ivoirien qui n'a pas été mis au courant selon des sources concordantes. Et c'est ce que fait le Burkina.Cela fait bien longtemps que le Burkina combat ces démons et on a jamais vu la Côte-d'Ivoire nous apporter une quelconque aide.Alors qu'elle nous épargne de ses humeurs sans fondement et nous colle la paix.Pourquoi les ivoiriens se plaignent-ils?Ces opérations militaires violent-elles l'espace ou le territoire ivoirien ? La menace terroriste y est très forte. On tient peut-être là l'une des causes de l'échec de la lutte contre le terrorisme au Alerté par les renseignements ivoiriens sur cette opération antiterroriste surprise, le Chef d'état major des armées ivoiriennes, le général Ce Samedi, 7 élèves figuraient parmi les 14 personnes tuées dans l'explosion d'un car dans le nord-ouest du Cette nouvelle tuerie de civils est survenue onze jours après le massacre d'Arbinda (nord), la veille de Noël.
Et c'est ce que fait le Burkina.Cela fait bien longtemps que le Burkina combat ces démons et on a jamais vu la Côte-d'Ivoire nous apporter une quelconque aide.Alors qu'elle nous épargne de ses humeurs sans fondement et nous colle la paix.Ici vous ometez le bilant cote terroriostes qui est de 80 Tue Dan's l'attaque sauvage et lache d'arbinda.Une récente série d'affaires de corruption liées à la pandémie de coronavirus a écorné l'image du président sud-africain Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, qui a démissionné dans la nuit de mardi à mercredi après une révolte militaire, est devenu le symbole de l'impuissance de l'Etat dans un pays déchiré par les attaques jihadistes et les violences communautaires.© 2019 Copyright AFRICA INSIDE – Tous droits réservésInscrivez vous à notre newsletter pour recevoir les informations au quotidienVotre inscription à bien été enregistré. La comédie est maintenant terminéeSi nous les africains,on ne fasse pas attention, l'impérialisme va nous mélanger ici. Le flux humain et de marchandises est considérable.
Mais ce pays qui partage, au nord, plus de mille kilomètres de frontières avec le Mali et le Burkina Faso, est désormais en alerte face à la contagion terroriste qui s’étend.Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Un mail de validation vous a été transmis pour valider votre inscriptionVous pouvez nous suivre sur différents réseaux sociauxEn poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts.Indiquer votre adresse email (utilisateur@domaine.com)Indiquer votre adresse email, ex. L’opération est délicate. La patrie ou la mort nous vaincrons.Et les 80 terrorristes tue vous en parle pas n'oublier pas que la frontiere du burkina est jusqu'a bouaké on'en parle pas parcequ'on est Frère mais si vous refutez cette fraternité chacun reprend ce qui l'appartientToi tu es fou comme si le bf n'avais pas assez de problèmeFélicitations a l'armée burkinabé, pour tuer un terroriste on a pas besoin d'accord de qui que ce soit.Est ce que Abidjan est la capitale du Burkina Faso ?pour vu que waga soit informéLes forces armées burkinabè ne sont jamais intervenues en territoire ivoirien ,donc cela veut dire que les Ivoiriens savent d'où sont venus ces terroristes.
Ce dernier restera connecté avec ce compte.Non. C’était le 13 mars 2016, dans la ville balnéaire de Grand-Bassam, à quelques kilomètres d’Abidjan.
Le Nord ivoirien en alerte (1).
En cette fin octobre, l’ambiance bon enfant n’empêche pas quatre blindés de débarquer dans le village pour monter la garde.Stanislas Loukou, instituteur au village depuis deux ans, s’est habitué.