Ruth King, « Acadian French in time and space: A study in morphosyntax and comparative sociolinguistics ou l'intonation croissante sur la dernière syllabe de la phrase affirmative, sans pour autant anticiper la réponse par l'ajout des adverbes « oui » ou « non » à la fin de la phrase : Compte tenu de leur lourde charge sociosymbolique au Canada, nombre des emprunts à l’anglais sont ciblés par les organismes de planification linguistique, qui s’efforcent de promouvoir l’usage de termes français équivalents. Jusque vers la fin des années 1960, les communautés issues de la diaspora québécoise ont conservé des liens étroits avec la « mère province » au sein de ce qu’on appelait alors la nation canadienne-française.

Pourquoi parle-t-on français au Québec ? Les enseignants québécois parlent généralement avec un accent québécois standard qui, pareillement, cherche à éliminer les traits phonétiques non-standard, ils prononcent des diphtongues légères et lexicaux associés à une langue trop populaire, sans pour autant s'aligner sur le français européen ou autre.

Une étude de Gilles Forlot consacrée au parler des ressortissants français à Toronto révèle que si leur français présente des points de divergence par rapport au français hexagonal, ceux-ci sont plus imputables à l’influence de l’anglais ou à l’étiolement linguistique qu’à l’adoption des traits du français canadien.

Dans leurs travaux sur les particularismes du français québécois et du français parlé dans les diasporas québécoises, les linguistes distinguent les catégories suivantes : 1) les traits typiques du français parlé des XVI

Le français acadien possède plusieurs caractéristiques qui étaient typiques du français parlé aux XVI

Les recherches linguistiques actuelles s’interrogent sur la place du chiac dans la palette communicative de ses utilisateurs et notamment sur son acceptabilité dans la communication avec les francophones qui ne font pas partie des communautés où l’on s’exprime en chiac. Le ministre Simon Jolin-Barrette s’est mis à la tâche de dépoussiérer la Charte de la langue française.

Elle atteint 71 % au Nouveau-Brunswick et elle dépasse nettement 80 % dans les autres provinces.

La Normandie, le Perche, le Poitou et les Charentes ont été les principales régions nourricières de la Nouvelle-France au XVII Le texte intégral de la Charte de la langue française est accessible sur le site Web des Publications du Québec. La montée du L’évaluation de l’efficacité des programmes d’éducation bilingue a donné lieu à de nombreux travaux de recherche qui fournissent des données précises sur la compétence en français parlé des anglophones au Canada et sur les facteurs sociologiques qui la déterminent.

Avec la langue française comme langue officielle et le drapeau à fleur de lys, le Québec est un des derniers vestiges de la colonisation française en Amérique. De plus, les communications internes et les communications entre organismes reconnus peuvent se faire en français et dans une autre langue.Dans tous les cas, le statut d’organisme reconnu ne peut être retiré qu’à la demande de l’organisme ou de l’établissement.

Ces deux pôles sont rarement purs, attendu d'une part qu'il est concrètement impossible de pratiquer au Québec un français en tous points semblable au français de France, et d'autre part qu'il est nécessaire de préserver des points communs avec le reste de la francophonie, ne serait-ce que pour favoriser la communication. Cette dernière prononciation reste cependant vivante dans les milieux populaires et chez les gens peu instruits.Marie-Hélène Côté, « La longueur vocalique devant consonne allongeante en contexte final et dérivé en français laurentien », In: Carmen LeBlanc, France Martineau & Yves Frenette (éd. Jean-Francois Lepage et Jean-Pierre Corbeil, Robert Papen et Anne-Sophie Marchand, « Un aspect peu connu de la francophonie canadienne de l’ouest : le français hexagonal », Bien que l’on tende de plus en plus à désigner le français parlé dans ces communautés par des termes qui renvoient à cette nouvelle identité (ex. : l’ Les emprunts à l’anglais sont typiques de la langue de tous les jours et ils sont aussi plus fréquents dans le parler des usagers moyens de la langue que dans celui des membres des couches sociales élevées.

Hors de la vallée du Saint-Laurent, l'expression choisie dépendra du point de rencontre entre le Saint-Laurent et l'affluent qu'il faut d'abord emprunter.