La république populaire Reconnu internationalement, le régime d'Agostinho Neto tente de réorganiser le pays en s'inspirant du modèle soviétique et en s'appuyant sur les ressources économiques (pétrole, diamants).

L'Angola connaît un marasme économique dû au départ des Portugais, qui représentaient la majorité des cadres et des chefs d'entreprise, et à cette instabilité politique. A l'heure actuelle, les colonialistes portugais et leurs agents sont les ennemis avérés du peuple angolais.

La lutte armée continue jusqu'aux années 1990 sans qu'une solution politique aboutisse. La souveraineté de l'État est contestée dans l'enclave de Cabinda par plusieurs mouvements séparatistes, dont le Front de libération de l'enclave de Cabinda (FLEC). www.vivreenangola.com est un site d'informations indépendant géré par une équipe bénévole qui s'adresse à tous les expatriés d’Angola.Ce site est le vôtre et il ne peut exister que grâce à votre contribution. La résistance s'organise avec la fondation du Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA) en décembre 1956 par Agostinho Neto. En 1962 est créé le Front national de libération de l'Angola (FNLA) par Holden Roberto, à partir de l'Union des populations de l'Angola (fondée en 1954); en 1966, Jonas Savimbi crée l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (UNITA), mouvement dissident du FNLA. Mais ce n'est qu'en 1575 qu'ils fondent São Paulo de Luanda, qui devient leur principal centre commercial et militaire. L'accord signé à New York, en décembre 1988, entre l'Au début de l'année 2002, l'espoir de voir relancé le processus de paix civile semble se dessiner avec la mort de Jonas Savimbi, tué lors d'un accrochage avec l'armée régulière. Ils servent d'exemple à deux autres colonies portugaises africaines, la Guinée Bissau et le Mozambique qui se rebelleront en 1963 et 1964.L'Angola est alors en pleine confusion car les partis UNITA et MPLA commencent à s'affronter. Elle définit l'État comme une république populaire. N'hésitez donc pas à nous envoyer toutes les infos qui peuvent intéresser les francophones : nouvelles, événements, bonnes adresses, ainsi que vos critiques ! Parallèlement, l'insécurité créée par les actions armées de l'UNITA et la destruction des infrastructures entraînent une paupérisation des zones rurales. À la suite de la révolution des œillets intervenue au Portugal en avril 1974, Lisbonne tente de mettre sur pied un gouvernement angolais englobant les trois partis majoritaires (MPLA, FNLA, UNITA). Cinq années se sont écoulées et la plus vaste des colonies portugaises est toujours le théâtre, dans les forêts comme dans les villes, d’affrontements sanglants entre nationalistes et forces armées gouvernementales. Depuis son indépendance en 1975, l’Angola, ancienne colonie portugaise, a été déchiré par la guerre civile qui oppose le Mouvement Populaire de Libération de l’Angola (MPLA) du Président Dos Santos, à l’UNITA (Union Nationale pour l’Indépendance Totale de l’Angola) de Jonas Savimbi. donnait le signal de l’insurrection nationale. Le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA), au pouvoir, remporte les élections législatives, quoi qu’en recul, avec 61,1 p. 100 des suffrages et 150 sièges sur 220. Agostinho Neto, chef du Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA), devient président de la République populaire d'Angola (soutenue par Cuba et l'URSS). Par ailleurs, la corruption au sommet de l'État et de l'armée accompagne l'antagonisme du MPLA et de l'UNITA, qui pourrait se traduire par une utilisation politique du chaos et des affrontements sociaux très violents.Après 20 ans de guerre civile, les conditions sanitaires ne cessent de se dégrader. Mais les trois partis, profondément antagonistes, s'opposent violemment. Le conflit prend une ampleur internationale à cause de l'implication de l'Afrique du Sud qui soutient le Portugal et Cuba qui soutient les indépendantistes.Le pays entre dans une guerre civile qui durera jusqu'en 2002. Par conséquent, la mortalité infantile, l'une des plus fortes de l'Afrique sud-tropicale après le Mozambique et le Malawi, reste très élevée: 124 ‰ (1997) contre 137 % (1990).

Le Mouvement populaire de libération de l'Angola, en portugais : Movimento Popular de Libertação de Angola, est un parti politique angolais. Elle aboutit, en janvier 1961, au soulèvement de Luanda, qui contraint les Portugais à envoyer 60.000 hommes sur le territoire.

Au début du XVIIe siècle, les Portugais, qui se sont aventurés plus au sud, fondent Benguela. Les Hollandais convoitent Luanda, qu'ils prennent en 1641; elle revient dès 1648 aux colons portugais.

Dès 1484, les Portugais établissent des comptoirs commerciaux le long des côtes. L'Assemblée nationale populaire regroupe 290 membres. Jusqu'au XIXe siècle, l'Angola reste un centre actif de la traite des Noirs à destination des plantations du L'abolition de l'esclavage entraîne un changement de politique d'occupation des Portugais, qui décident de coloniser l'intérieur. Le système hospitalier public ne peut répondre aux besoins d'une population démunie qui ne peut s'offrir des soins ou des médicaments.