Après les images des éléments du GOSP au milieu de manifestants pacifiques vendredi en fin de journée à Alger, une nouvelle opération d’une unité d’élite de la police suscite la polémique.Selon l’association RAJ, les éléments de la BRI « ont agit d’une manière violente et agressive en tabassant les étudiants et en procédant à des interpellations en violation de toutes les lois et textes régissant l’inviolabilité des franchises universitaires ». Une opération qui confirme la … Cette mesure consiste à ôter tout élément pouvant être utilisé par les personnes contre elles-mêmes ou autrui ».Ce 16 avril, comme chaque mardi depuis le début de la contestation, les étudiants ont investi la rue à travers toutes les villes du pays et aucun incident n’a été signalé.

Ce mercredi, c’est la BRI qui est appelée pour embarquer des étudiants. Partant de la solidité des liens de confiance liant le peuple à son Armée, nous avons donné des instructions claires et sans équivoques pour la protection des citoyens, notamment lors des marches », a dit le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah.Le recours aux unités d’élite pour réprimer des manifestants pacifiques est hautement préjudiciable pour l’image de la police. Des éléments armés de kalachnikov de la BMPJ (Brigade mobile de la police judiciaire) et de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) patrouillaient à pied ce dimanche matin sur la rue Didouche Mourad, principale artère, du centre-ville de la capitale. Près de deux mois après la réouverture des frontières avec 129...L’opération des BRI à l’université d’Alger provoque un tollé Des vidéos de l’intervention de ces unités spéciales de la police ont été partagées sur les réseaux sociaux.La répression des manifestations a commencé mardi 10 avril avec l’empêchement d’un rassemblement d’étudiants au centre d’Alger.Vendredi 12 avril, la police a lancé des gaz lacrymogènes sur une foule compacte rassemblée au niveau de la grande-poste et la place Audin, à Alger-centre. Ces unités n’auraient jamais dû être utilisées contre le peuple qu’elles sont censées rassurer et dont elles font la fierté.Le veille justement, le chef de l’armée souligné que la puissance de feu de l’ANP est destinée « à faire face aux ennemis de la Nation et non pas contre son peuple ».Il va faire très chaud jeudi et vendredi sur onze wilayas du pays, avec...Le président Abdelmadjid Tebboune a mis fin aux fonctions du général-major Abdelkader Lachkhem à...L’Algérie a enregistré, ces dernières 24 heures, 403 nouvelles contaminations au Covid-19 (contre 419...Repéré pour vous. Le lien d'inscription : https://portail.if-algerie.com Après les images des éléments du GOSP au milieu de manifestants pacifiques vendredi en fin de journée à Alger, une nouvelle opération d’une unité d’élite de la police suscite la polémique. Des affrontements ont eu lieu parallèlement entre les forces de l’ordre et des jeunes présentés par la police comme des casseurs.Le lendemain, des militantes de RAJ et du MDS ont été arrêtées sur les mêmes lieux et acheminées vers le commissariat de Baraki où elles auraient été dénudées.La DGSN a crié dans un communiqué à une campagne calomnieuse, mais elle n’a pas vraiment démenti les faits, reconnaissant même « une fouille corporelle exécutée par une femme policière au grade de lieutenant de police. Près de deux mois après la réouverture des frontières avec 129...La BRI intervient à l’intérieur de l’université d’Alger : la dérive répressive continue Ce mercredi, des éléments de la BRI (brigade de recherche et d’investigation) ont investi la fac de droit de Saïd Hamdine où ils ont […] Selon la LADDH, « l’amphithéâtre où se sont déroulées les interpellations et la confiscation de la feuille de présence et de téléphones abritait une rencontre débat entre enseignants et étudiants pour apporter leurs contributions au Hirak ».« Rien ne peut justifier une telle opération y compris une réquisition du doyen de la faculté de droit dans la mesure ou aucune violence, contrainte physique ou morale n’ont été utilisées par les étudiants ou les enseignants », rappelle l’ONG qui dénonce « un décalage profond entre le discours officiel et les pratiques de répression des libertés ».Cette opération spectaculaire de la police intervient au lendemain du discours du général Gaid Salah dans lequel il a affirmé Pour sa part, le FFS a dénoncé « avec force » l’opération. Le jour même, le chef d’état-major de l’ANP s’est exprimé à partir de Ouargla sur la situation et s’est démarqué de l’opération de répression des manifestants. Si des associations, des ONG et des partis politiques ont dénoncé rapidement après les faits une « opération musclée » des BRI contre des […]