Si cela n’avait pas été le cas, je peux vous dire que l’AMF, ainsi que les chambres pro les auraient épinglé il y a bien longtemps, car il s’agit d’une obligation réglementaire. j’avais lu trop vite, ma question portait sur vos placements en directLa c’est simple, j’ai investit dans des maisons en bord de mer (a 200 mètres )Vos propos sont clairement diffamatoires et en aucun cas argumentés.

Pour bénéficier de nos conseils, trois solutions :Je me demandais si j’étais le seul à trouver cette approche pas très orthodoxe par rapport à la législation. Aucune précision supplémentaire, flou total. Marne & Finance en complément de sa documentation propose de présenter les avantages et inconvénients de ses solutions selon ces termes :Voici le courrier de l’AMF pour les présidents de syndicat de CGP (Nous y retrouvons les principales craintes du conseil du groupement de CGP présenté ci avant) :Qu’il s’agisse d’une simple question ou d’un audit complet de votre situation patrimoniale, nous sommes en mesure de vous accompagner au gré de vos besoins et de vos projets de vie. conversé avec les salariés, j’en étais arrivé à la prosaïque conclusion, qu’il s’agissait d’un surf sur un courant porteur, le bio, avec des produits d’une traçabilité pas toujours optimale, et welfare salarial peu satisfaisant.Bref, le contenu ne m’ayant pas convaincu, le contenant, même bien situé, ne pouvait valoir ce que la société mère annonçait.Abstention donc (moins catégorique que Maranatha ou Aristo ou Fairvesta)OUi, j’ai fait le même travail d’analyse. ?Généralement en la matière, si y’a doute y’a pas doute. obtenir un label , ne veut rien dire….promenez vous en france et regardez l’implantation de bio c bon , vous comprendrez que l’idée fonctionne bienLe bio est une vaste tarte a la crème dont on nous tartine a longueur de média.

C’est gentil de la part de l’AMF de se soucier des CIF, mais qu’attend-elle pour agir à l’encontre du groupe Marne et Finance ?C’est pas comme si en plus elle mettait le doigt sur le fait qu’ils semblent généreusement s’asseoir sur la réglementation applicable aux FIA ainsi qu’à l’OPTF, outre le fait que Marne et Finance n’est probablement pas non plus allé au bout de sa démarche en formalisant le fait que les caractéristiques de son offre ne rendait pas nécessaire l’établissement d’un prospectus préalablement visé par l’AMF, violant au passage encore une autre obligation…+1 Je suis tout à fait d’accord votre commentaire !C’est quand fascinant de voir, d’un côté, le niveau d’exigence et le souci du détail dont l’AMF peut faire preuve en vue de la délivrance de son visa quand on est côté émetteur (que je ne critique pas, bien au contraire, même si je le juge parfois excessif en ce qu’il peut nous amener à un niveau d’analyse pas toujours pertinent et qui, à mon sens, fait perdre de vue l’essentiel), et de l’autre sa faculté à ne pas se saisir de ce qui relève pourtant de ses attributions.Et encore plus marrant si vous en avez l’occasion un jour : saisissez donc l’AMF pour lui demander de reconnaître que votre projet ne relève pas de son champ de compétences (schizophrénie totale : « on est valablement saisis mais en fait pas tant que ça non plus parce que ni le porteur du projet ni la société projetée ne sont soumis à notre règlementation donc on n’a pas compétence à répondre, mais potentiellement un peu quand même parce qu’on doit justement vérifier si c’est pas le cas avant de leur dire que, effectivement, ce n’est pas le cas, mais du coup on se retrouve à confirmer la non-applicabilité de notions qui, dans le cas soumis, n’ont pas à s’appliquer donc on ne devrait pas se prononcer du tout dessus… »).La morale à retenir de ces exemples et du cas du groupe Marne et Finance (et d’autres…) serait-elle que, pour ne pas avoir de difficulté avec l’AMF, il suffirait de ne pas frapper à sa porte ? Pouvez vous nous révéler ce qu’elles sont (on le dira à personne, promis! Je ne suis pas inquiet sur cette solution d’épargne, d’autant plus qu’un groupe de premier plan a pris une participation de 20% dans le projet il y a 1 an environ. Pour cela il faut analyser avec le client le fonctionnement de la garantie de remboursement et ses limites.Au reste la question de la volonté du CIF d’analyser les produits qu’il sélectionne pour ses clients, et de leurs en présenter le plus objectivement les avantages et inconvénients, se pose pour tous les types d’actifs qu’ils présentent, même pour les moins exotiques, tels que les fonds Euro, ou Euro croissance. BIOC BON c’est l’un de ces produits qui laissent croire à l’épargnant qu’il est possible d’obtenir un rendement élevé sans risque « , il convient d’étayer ces propos au risque qu’ils soient diffamatoires.

Trop d’éléments convergent vers une volonté délibérée de se soustraire à l’ensemble de ces règles protectrices pour ne pas m’interroger.Outre le fait que, encore une fois, si M&F était vraiment allé au bout de son raisonnement alors elle aurait dû indiquer sur ses documents que les caractéristiques de son offre la dispensait de l’établissement d’un prospectus soumis au visa de l’AMF, mais peut-être aurais-ce trop mis l’accent sur le fait que, du coup, l’AMF n’ayant pas pris connaissance de leur contenu, alors on pourrait légitimement se questionner sur son caractère sincère et exhaustif. Encore une fois, et au-delà de la qualité même du produit, c’est non seulement une infraction, mais ça m’amène une nouvelle fois à m’interroger sur l’objectif poursuivi : pourquoi faire en sorte d’échapper à la qualification d’OPTF si ce n’est pour ne pas avoir à établir un prospectus en bonne et due forme, qui devra être soumis à l’AMF pour le coup, et la poussera d’ailleurs à s’interroger sur la qualification des sociétés du groupe au passage (FIA ou non ? Bref, toute cette réglementation a été prévue pour objectiviser la gestion des véhicules commercialisés, dans l’intérêt des investisseurs, notamment pour lutter contre les créateurs de véhicules qui, au motif qu’il ne s’agissait pas formellement d’OPCVM ou plus largement de fonds coordonnés, ne relevaient pas de ces mesures protectrices et pouvaient s’adonner à une gestion parfaitement discrétionnaire des fonds collectés (et c’est donc pour lutter contre ces loups solitaires qu’est née la notion de FIA par l’objet).Après on peut épiloguer sur les compétences réelles des sociétés de gestion agréées (à tout le moins, sont-elles nécessairement plus compétentes qu’un chef d’entreprise lambda ?