Une version sexuelle et sanguine totalement investie par la magnétique et radieuse Nastassja Kinski Bien kitsch par moments, mais une histoire et une ambiances que je qualifierais en toute sobirété de coolax L'histoire est vraiment mal travaillée, la seule ambition du réalisateur semble être de filmer Nastassia Kinski nue. De La Féline (film, 1942) Sauter à la navigation Sauter à la recherche. J'ai pas aimé du tout ! Suivre son activité Mais on absoudra Paul Schrader qui montre une fois de plus que sa vocation de réalisateur n'est pas surfaite. Malgré son aspect un peu trop verbeux, le film a fait l'objet d'un culte et possédait un romantisme vénéneux, sans rien montrer d'explicite, tout était suggéré, notamment dans la scène de zoo et surtout celle de la piscine qui reste dans...

Les petites victimes s'incarnent ensuite dans ces dangereux félins, capables de prendre forme humaine.

La mise en scène repose d'ailleurs sur le jeu sexy de l'actrice de "Paris Texas". Publiée le 14 novembre 2018

Difficile de comparer ce film à celui de Tourneur qui jouait énormément sur la suggestion, là on est clairement dans l’explicite, ça joue sans crainte la carte du fantastique, après je trouve que tout ce qui tourne autour du mythe du loup-garou détourné en celui de la panthère noire ne tient pas vraiment, enfin je ne vois pas en quoi c’est légitime de nous dévoiler leurs racines, autant ne rien dire, surtout si c’est pour accoucher de scènes dignes d’une pub sous fond de Bowie (pas de doute on est dans les années 80), ce n’est pas étrange c’est juste WTF, on dirait qu’on va nous vendre un parfum. ), assez pour être suffisamment intéressant et captivant, certes sans pour autant briller par sa subtilité mais plutôt par un mécanisme scénaristique efficace, toute la cruauté de l’amour et du ressentiment, l’instinct sauvage et insoumis se mesurant à la faiblesse du regard de l’homme, on fini par succomber … D’un sens fascinant mais tout aussi maladroit dans sa démonstration, une série B qui mérite cependant l’attention.
Un film à part mais un très beau film ! Peut-être la scène de la piscine qui constituait le moment fort où tout le savoir-faire de Jacques Tourneur était à l'œuvre dans la version de 1942 aurait-elle dû ne pas être reproduite ? D'obscurs rites ancestraux sacrifient des enfants aux dieux panthères. L'animal se révèle avoir d'étranges liens avec Paul et Irena. Il ne se passe pas grand chose et on termine le film en restant sur notre faim et cette impression que l'auteur n'a pas réussi à exploiter tous les éléments de son film. Pour moi La Féline reste un bon film de l’époque, un métrage ancré dans son temps qui reste luxueux et pertinent.

Heureusement, les acteurs sont très bons... Mais je me suis surtout ennuyé. Alors que Jacques Tourneur inventait l'art du suspens et distillait l'inquiétude par l'ambiance, les ombres et la suggestion sans montrer le danger, laissant au spectateur le soin d'imaginer en fonction de ses propres peurs et phobies, Paul Schrader montre tout. Dans les jours qui suivent, une mystérieuse panthère tue une prostituée. Mathieu Kassovitz Par les membres ayant le plus d'abonnés

Lire ses 4 025 critiques Il tue le suspens, gâche le frisson. Irena retrouve son frère Paul à la Nouvelle-Orléans. Certes la trame reste la même mais l'interprétation est totalement différente. Ce que perd en mystère ce remake du film de Jacques Tourneur il le gagne en sensuaité et érotisme, ce qui sied bien au sujet. C'est beaucoup beaucoup trop plat... Pareil pour la mise en scène. Dirigée par deux réalisateurs à très forte personnalité, sa beauté incandescente vient d'éclater au monde dans "Tess" (Roman Polanski en 1979) et dans "Coup de cœur" de Francis Ford Coppola (1982).