(Ressources minérales dans les grands fonds calédoniensLe soutien de la métropole et de l'Union européenneRessources minérales dans les grands fonds calédoniensdizaine d'entreprise pour une soixantaine de salariés en Le soutien de la métropole et de l'Union européenne

Le taux d'autosuffisance alimentaire, toutes filières agricoles confondues, en forte baisse, est de 15 % (45 % à La Réunion). 1 971 ruches en La Nouvelle-Calédonie dispose de 3,5̥ % de terres arables, exploitées intensément par «Les cultures céréalières sont très peu développées, la surface totale affectée à cette culture n'étant que de L'essentiel des exploitations agricoles sont affectées à la culture maraîchère et des fruits de plein champ, avec 1 872 hectares exploités en En 2014, la production commercialisée de légumes est estimée à 8 629 tonnes (2 659,1 M-XPF), et l'importation à 2 273 tonnes (461,4 M-XPF). La Historiquement, la ville de Nouméa, peuplée alors d'environ 10 000 personnes, est éclairée par 130 réverbères à gaz à partir de L'industrie agroalimentaire avait une valeur ajoutée de 12,956 milliards de La grande majorité des entreprises et emplois du secteur le sont dans des activités artisanales ou liées à des aliments spécifiques de la gastronomie européenne : boulangerie, pâtisserie, chocolaterie, confiserie... Une chocolaterie et confiserie industrielle domine, Biscochoc, avec environ 60 employés, qui produit sous licence des marques issues de gammes d'entreprises extérieures (Vient ensuite la production de boissons, un secteur dominé par deux principales entreprises industrielles concurrentes qui produisent chacune des bières, sodas, sirops ou jus de fruits de marques internationales sous licence ou de leur propre création : la S'appuyant sur un élevage local historiquement développé, l'industrie de la viande est la troisième filière la plus développée de l'agroalimentaire néo-calédonien, avec près d'un cinquième des emplois et des entreprises de ce secteurL'élevage laitier étant traditionnellement peu pratiqué en Nouvelle-Calédonie, l'industrie laitière est donc plutôt limitée, avec à peine plus d'une Globalement, en 2015, la valorisation de la production agricole commercialisée est assurée par la Province Sud à 76 %, par la Province Nord à 20 %, et la Province des Îles à 4 %. Le taux de pauvreté (au seuil de 50 % du revenu médian) est à 9 % en Province Sud, 35 % en Province Nord, 52 % aux Îles Loyauté. Les produits phytosanitaires importés (34,9 tonnes) consistent en herbicides (11,9 tonnes), insecticides (13,8 tonnes), fongicides (3,9 tonnes), et autres (5,3 tonnes). En 2015, la production commercialisée d'oignons secs est estimée à 666,2 tonnes (133,5 M-XPF), et l'importation à 1 214,3 tonnes(71,3 M-XPF). L'essentiel de la pêche est vivrière et de plaisance, avec 3 500 tonnes pêchées de cette manière en Vient ensuite la pêche professionnelle au large par La pêche professionnelle lagonaire, avec 1 295 tonnes de produits en En production non destinée à la consommation humaine, la L'un des secteurs en plein essor de l'économie calédonienne est celui de l'aquaculture de la Écloseries : du Nord, d'Eori, de Mara, de Montagne, de Dumbéa. Le secteur employait en Le tourisme calédonien avait commencé à se développer au début des Une large majorité de ces touristes viennent pour les vacances, toutefois le tourisme familial ou amical reste assez important (24 786 visiteurs en Cependant la Nouvelle-Calédonie souffre du manque de liaisons régulières avec la Si le développement du trafic aérien semble stagner ou régresser du fait de l'augmentation des carburants, et du prix relativement élevé des taxes aéroportuaires (notamment en faveur des autres aéroports moins chers des pays voisins de la région), le tourisme maritime connaît un net développement depuis que la compagnie maritime internationale Les croisiéristes sont essentiellement australiens (81,5 %), puis néo-zélandais (7,6 %). L'importation est de 35 unités pour une valeur de 42,9 M-XPF Les populations mélanésiennes, en tribu, maintiennent des agricultures vivrières et coutumières de tubercules tropicaux dont surtout l'On peut également citer une très faible production de En 2015, la consommation d'engrais commercialisés est estimée à 5 201,4 tonnes à destination du maraîchage, des céréales, des suashs, des fruits, des pâturages, de l'aquaculture, des pommes de terre, des pépinières pour reboisement, etc. En 2015, la production est estimée à 3 396,1 tonnes, pour 17 085 têtes abattues, d'une valeur de 1 921,8 M-XPF, avec une importation de 2 107,2 tonnes pour une valeur de 1 789,2 M-XPF.