Mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit.” Nous savons bien qu’un grain de blé tombé en terre ne meurt pas vraiment : il germe et se transforme… mais l’image de l’ “enterrement” du grain de blé est très suggestive. La croix est aussi le mystère de notre confiance et de notre grandeur, parce que le Christ a voulu rapprocher d’elle notre petitesse, notre faiblesse, notre pauvreté, notre souffrance et nos larmes. Notre confrère Gérard a fait l’expérience de cette mort progressive dans la lutte courageuse et tenace, qu’il a … » Philippe va le dire à André ; et tous deux vont le dire à Jésus. 23 Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit. « Si le grain de blé tombé en terre meurt, il porte beaucoup de fruit. Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue pour le Fils de l’homme d’être glorifié. » (Jn 12, 20-33) Gloire à toi, Seigneur, gloire à toi. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit. si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle. Jésus nous dit : « Celui qui aime sa vie (c’est à dire, celui qui ne veut pas se donner) la perdra (ce qui veut dire qu’il ne gagnera pas la vie éternelle), et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera (pour la vie éternelle : il gagnera le Ciel) »(Jean 12,25). Voici maintenant que ce monde est jugé ; voici maintenant que le prince de ce monde va être jeté dehors ; et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les hommes.
Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Évangile de Jésus Christ selon saint Jean Si quelqu’un me sert, » Mais Jésus leur répondit : « Ce n’est pas pour moi que cette voix s’est fait entendre, c’est pour vous. Il exprime ainsi tout l'enjeu de la vie de Gide : « L'enfant obtus » qu'il reconnaît en lui-même, oppressé et paralysé par l'éducation puritaine et sévère de sa mère, doit mourir et céder la place au jeune homme épanoui, créatif et libre d'esprit. Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. comme dans celle de chaque personne humaine, « si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit » (Jn 12, 24).
Nous devons mourir afin de vivre.« Jésus Christ a vécu une boussole à la main. C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit.
Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle. » En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de tonnerre ; d’autres disaient : « C’est un ange qui lui a parlé. Dans la première, l'auteur raconte ses souvenirs d'enfance : ses précepteurs, sa fréquentation discontinue de l'Dans la seconde partie, beaucoup plus courte, Gide retrace sa découverte du désir et de sa Gide fait le récit de l'échec total de sa vie conjugale avec Madeleine dans un autre récit autobiographique, écrit en 1938 peu après la mort de sa femme, publié en 1951 et intitulé « Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. 24 Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Que puis-je dire ? Celui qui aime sa vie la perd ; celui qui s’en détache en ce monde la garde pour la vie éternelle. Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. » Lettre du Père Martial Maciel, L.C., 26 mars 1975Seigneur Jésus, Tu m’as tant aimé que Tu es mort sur la Croix pour moi. Nous sommes ici les uns et les autres situés différemment par rapport à la Foi de cette Église au nom de laquelle je vous accueille aujourd'hui.
Maintenant je suis bouleversé. »